AssangeDAO, le fonds de soutien à Julian Assange, a déjà récolté plus de 50 millions de dollars
Succès pour AssangeDAO, le fonds de soutien au fondateur de Wikileaks, Julian Assange, qui a déjà récolté plus de 50 millions de dollars.
Comme l’indique un tweet de Wikileaks, plus de 10 000 personnes ont déjà versé 17422 ETH afin de soutenir la cause de Julian Assange, soit près de 54 millions de dollars au cours Ethereum actuel.
BREAKING: Almost US $55m ($54.2m/ 17,422 ETH) raised by over 10,000 @AssangeDAO contributors in defense of #WikiLeaks publisher Julian Assange at end of funding cycle
Fund now available for bidding on the @muratpak
'Clock' auction:https://t.co/d0vHsPWhkA— WikiLeaks (@wikileaks) February 8, 2022
Les fonds récoltés doivent notamment servir à aider Julian Assange à payer ses frais juridiques et lui permettre de continuer sa lutte visant à « sensibiliser le public à l’échec systémique de nos systèmes judiciaires ».
Inspiré par le FreeRossDAO (qui a levé 12 millions de dollars pour libérer Ross Ulbricht), l’AssangeDAO a l’intention de lever des capitaux pour enchérir sur le NFT d’Assange.
En galvanisant un réseau de solidarité Assange, nous espérons envoyer un signal fort indiquant que le temps de la passivité est révolu. Une nouvelle ère d’organisation cypherpunk est née., peut-on lire sur le site AssangeDAO.
À la recherche d’une nouvelle terre d’asile, la France a récemment refusé de l’acueillir en tant que réfugié politique.
Les députés français de l’Assemblée nationale ont en effet rejeté vendredi dernier une proposition de résolution invitant le gouvernement à accorder l’asile politique au fondateur de Wikileaks, détenu depuis trois ans au Royaume-Uni, dans l’attente de son éventuelle extradition vers les Etats-Unis.
Dans l’impasse de sa situation, ce fonds de soutien sera donc le bienvenu pour soutenir Julian Assange dans les épreuves juridiques et personnelles qui l’attendent prochainement.
AssangeDAO a l’intention d’utiliser ces fonds pour enchérir sur la vente d’un NFT unique intitulé « Censored » qui a été créé par l’artiste numérique Pak, en collaboration avec Julian Assange.
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